Nouveau client en 2021 pour des relectures : Christophe, patron d’une petite maison d’édition bruxelloise avec un mode de fonctionnement novateur.
Il y a toujours une faute dans un livre
C’est pour cela que l’on fait appel à un relecteur ou une relectrice.
Si elle manque, il convient de la rajouter. Question de cohérence.
— Sébastien Bailly (@sbailly) October 17, 2021
Merci Stéphane :-)
Je reprends : tout écrit demande une relecture, en ce compris un livre. Et ici pour une maison d’éditions.
Relire un livre, c’est traquer tout ce qui a échappé à l’auteur(e) ou à l’éditeur. C’est lui faire des propositions d’amélioration, de le soutenir dans les dernières heures avant l’impression.
Si cela est possible, je demande toujours à pouvoir relire en deux temps :
- sur la base d’un document Word par exemple ;
- sur la base de l’épreuve en format PDF.
Le scan du correcteur
Tout passe au scan de l’oeil et de la mémoire du relecteur ou de la relectrice :
- orthographe
- syntaxe
- grammaire
- répétitions
- incohérences
- dates
- noms propres.
Trois relectures à mon compteur pour les éditions Chronica
Christophe m’a fait confiance pour relire quelques textes de la BD de Brice Depasse et Aurélien Baudinat : “La Story Nostalgie – Londres 1968”, un “voyage inédit et captivant dans la capitale britannique de la fin des années 1960.”
Mais aussi dans un autre genre, “Belle armada” du cartooniste belge Pad’R.
Je n’ai pas relu les phylactères mais bien les mises en contexte du dessinateur qui officie notamment dans la DH.
Enfin, quelques minutes pour relire deux textes à paraitre dans “Game Day” de John-John Dohmen, l’ancien capitaine des Red Lions, l’équipe nationale belge de hockey.
Votre livre : autoédité ? À compte d’auteur ? Ou Chronica ?
Pour mon premier projet de livre, le Carnet inspirales, j’avais choisi l’autoédition.
Pour avoir le contrôle sur le contenu, le prix, le planning. Sur tout.
Ce ne fut pas un mauvais choix, en tout cas une expérience, certes encombrée par des mois de promotion. Et je préfère écrire (ou relire) que vendre.
En tout cas, mon deuxième projet de bouquin (des aphorismes en dessins) avec mon pote Jean-Marc Torelli semble intéresser Christophe qui propose, je peux en témoigner, une solution alternative pour les auteurs en quête de sérieux et de visibilité.
Alors, les éditions Chronica, une maison d’édition petite mais costaude ? Non peut-être !