Quel est le point commun entre un e-mailing de 2012 et Aida, l’opéra de Giuseppe Verdi de 1871 ? AIDA, justement. C’est l’acronyme pour Attention – Intérêt – Désir – Action.
Si vous faites attention aux newsletters qui envahissent votre messagerie, vous constaterez qu’elles sont quasi toutes bâties de la même façon.
Leur but : attirer l’attention du client et l’amener à cliquer/réagir/s’inscrire ou acheter.
L’e-mailing est un outil puissant, flexible, facile à mettre en oeuvre et peu onéreux.
Vous avez besoin :
- d’un logiciel pour l’envoi (Mailchimp, le plus intuitif) ;
- d’une base d’adresses e-mail ;
- et d’un contenu fort, bien évidemment.
C’est ici que j’interviens, notamment pour la société Fiddiam, société luxembourgeoise qui vend des suppléments nutritionnels via son site Nutrilifeshop.com. J’en suis à mon 15e e-mailing pour ce client (mise à jour : article écrit en 2012, et la cliente vient de me recontacter… en 2016), et j’applique toujours la même recette :
- Attention > un slogan fort, un visuel accroche-oeil > cher client/prospect, lisez ceci !
- Intérêt > voici tous les bienfaits de notre produit > ce dont vous avez besoin, nous l’avons !
- Désir > le client est ferré mais peut encore lâcher prise > témoignage, argument-massue, vidéo ou promo exclusive achèveront de le convaincre ;
- Action > le client va cliquer-s’inscrire-acheter > bingo, via un gros bouton ‘call-to-action’.
Un exemple ci-dessous qui a bien marché pour Fiddiam.
Par rapport à un mailing papier (qui garde toutes ses traces de noblesse en matière de créativité), la newsletter électronique permet de savoir en un éclair ‘qui a cliqué où, quand, et combien de fois’.
Des statistiques puissantes qui permettent d’affiner la cible avant un prochain envoi de masse.
Et vous, utilisez-vous la technique AIDA ?
Pour aller plus loin
- D’autres clients dékapés
- D’autres techniques de comm’
- L’auteur de cet article critique AIDA, en tout cas pour les publicités Facebook.
Partager la publication "L’e-mailing : AIDA, la marche triomphale vers vos clients"
Tu as déjà essayé cette technique pour ton contenu Miriana ? Tu peux toujours me montrer le résultat. La cible des journalistes étant assez particulière, je peux par ailleurs te conseiller d’approcher Phiippe Creteur d’Innovatech. C’est son domaine.
Les newsletters envoyés par le G1000 ne correspondent pas à AIDA : c’est une suite d’articles, constitués de :
– Un titre
– Une image
– Un texte introductif avec un lien renvoyant dans le texte complet sur le site ou
– Un texte complet (et souvent très long)
Et la newsletter termine par un appel aux fonds.
Voici celle envoyée pour relancer le G1000 : http://mad.ly/66f513
ben il y a le A de action tout de même à la fin 🙂 J’aime bien. C’est en effet fort long, mais les articles sont courts et j’imagine que la cible est bien choisie. Peut-être aurait-il été tout de même judicieux de mettre un menu au début? Tu as des stats sur les clics?