Des fautes de frappe, j’en ai vu des milliers, parfois même dans mes propres textes ! Nouvelle livraison.
Grossier également : les fautes dans les titres… Le relecteur de l’édition Auderghem/Watermael-Boitsfort du Vlan aurait dû séjourner en maison de correction au lieu de laisser cette côte à l’accent plus circonflexe que ouest-flamand.
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Ici franchement, c’est du jamais vu : commettre une faute dans le nom de sa propre société, en plus au début du dépliant, l’entreprise GREENPARTNERS a fait très fort. J’espère que leurs fondations sont plus solides que leurs communications.
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Autre grand acteur en pleine lumière : Lampiris. J’apprécie leur style de communication très frais et leur approche commerciale. Pas de chance, ils baissent un peu dans mon estime avec cette erreur dans un de leurs mailings.
Non, eux ne se sont pas trompés sur ‘quelle que’.
Par contre, le pronom ‘aucun’ prend ici un ‘s’ car le mot ‘frais’ qui l’accompagne s’emploie toujours au pluriel. Croyez-en mon expérience en communication de produits financiers.
Tu as eu un très bon prof de français, fils, suis fière de toi. Comment s’appelait-il ,encore?
Brouwers. Il fera l’objet d’un autre article, forcément.
Philippe voit tout : c’est le Big Bro…wser du web !
bien vu Paul, je me demande si je ne changerais pas de nom. En fait, à la réflexion, je ne vois pas tout. Des fautes se glissent dans mes propres textes. C’est une des règles en relecture. Toujours faire relire par autrui.
Oups : je n’avais pas vu l’erreur “aucun frais”
C’est rigolo