En mai 2021, j’ai eu l’honneur d’une interview sur la chaine YouTube de Sélim Niederhoffer, Les Mots Magiques, dédiée au copywriting. Trente-cinq minutes durant lesquelles lui et moi vous racontons notre métier de copywriter expert.
Un copywriter écrit, mais comment, pour qui pour quoi ?
Dans cette vidéo, vous obtenez des réponses aux réponses suivantes :
- quelles sont mes techniques de copywriter ?
- quels mots-clés pour devenir copywriter ?
- quels livres (pas uniquement sur le copywriting) m’ont inspiré et lesquels je veux écrire ?
- quel livre ai-je conçu (et écrit avec d’autres) ?
- quels sont mes projets dans les cinq prochaines années ?
Poser des questions est facile, répondre à des questions mérite attention
J’ai préparé sérieusement cette interview, avec des mots-clés.
J’ai surtout pensé aux conseils que j’allais donner aux visiteurs de cette vidéo. Qui sont-ils ? Des copywriters débutants, pour la plupart. J’espère, aussi, des annonceurs et futurs clients.
Sélim reprend mes conseils dans la vidéo.
Sans trop dévoiler, pour être copywriter, il faut écrire, souvent, surtout. Mais aussi s’arrêter d’écrire pour lire, lire de tout. Pour engranger, restituer et persuader la cible.
Je situe aussi le copywriter dans la chaine de communication entre deux clients : celui qui briefe et celui qui lit, achète, consomme, adhère.
Le concepteur-rédacteur peut se limiter à écrire des textes qui font vendre ou se consacrer à toute la chaine de production, sur la base de réponses à des bonnes questions et au briefing. J’y reviendrai en détail dans un prochain billet.
Dans l’intervalle, écoutez les conseils du bon Sélim ici.
Copywriter pour la communication interne, le marketing B2B / B2C, les réseaux sociaux.
Relecteur et traducteur/adaptateur.
Volez les idées d’un copywriter !
Quand j’ai attrapé le covid, j’ai passé du temps sur LinkedIn. Et lu ce qu’écrivaient mes pairs. Bilan : mitigé comme de l’eau tiède qui ne vous rafraichit pas.
Un post LinkedIn d’un ou une copywriter ressemble souvent à ceci :
Une accroche genre “je vais quitter LinkedIn car…” putaclic. Puis une vraie fausse histoire storytellante ennuyante comme un jour sur LinkedIn. Une liste à puce en couleurs avec des arguments vus mille fois ailleurs. Des jeux de mots à gauche et à droite pour garder le chaland éveillé. Une conclusion qui invite à l’action et aux commentaires pour faire bosser les algorithmes, ces feignasses. Avec parfois, bouse sur le gâteau, un message privé hard selling genre “hey mon amiiiiiiii, télécharge mon Livre blanc pour gagner 5K par jour.” Mec, fille, je fais le même job que toi.
Bref, comme me l’a écrit un copywriter en privé : “une successions de posts auto-satisfaits et des enfonçages de portes ouvertes”.
ALORS QUE ! ALORS QUE ! Chacun peut profiter de conseils pertinents pour ses textes, qu’elle ou il soit copywriter ou pas.
J’ai donc acheté le Guide du copywriting, Pages de vente, newsletters, sites web, réseaux sociaux… 50 techniques pour vendre en ligne de Sélim Niederhoffer.
Pour apprendre, encore et toujours. Parce que le gars est sympa et CONVAINCANT. Et que son aventure professionnelle est passionnante, je vous laisse découvrir cela sur le net.
Mais venons-en à quelques points intéressants de ce “petit livre jaune”.
Le Guide du copywriting : 50 techniques pour vendre en ligne
Quand je lis un livre, je note des numéros de pages intéressantes. Ici, j’ai vidé l’encre ! Ce livre, jaune comme l’or, est une mine pour les copywriters.
Ses deux atouts : le sérieux et la compétence de son auteur et des conseils applicables directement pour booster son écriture et trouver des clients.
Il reprend des thèmes importants en copywriting comme la structure narrative, la titraille, les meilleurs endroits pour aller voir, vendre et être vu sur les réseaux sociaux.
Sans négliger les meilleurs astuces des plus célèbres poids lourds de la plume, à l’ancienne mais aussi tournées évidemment vers le digital et le SEO.
Et, last but not least, les mots magiques chers à Sélim, les Sésame de l’appel à l’action (en anglais CTA, le graal des marketeurs). Ceux-ci font souvent appel à la psychologie, science dont les copywriters pros doivent au moins connaitre les rudiments.
Bon, à présent, achetez-le. Ou volez-le-moi :-)
Le guide du Copywriting – Pages de vente, newsletters, sites web, réseaux sociaux – 248 pages, chez Eyrolles
Partager la publication "Philippe Schoepen, couteau belge du copywriting"
Très fière de mon fils
Merci Mimi