Je reçois des textes à traduire, en veux-tu, en voilà. Grâce au réseau. Maintenant, il faut traduire sans trahir. Grâce à de bons outils.
En 2010, j’ai rencontré Christophe, un autre copywriter. On a discuté, on a ri, on a bu des bières.
J’ai bossé pour lui en traduisant des articles pendant près de quatre ans pour Mediazine, le magazine de son client Mediamarkt.
Des articles lifestyle, des produits high-tech, des goede tips pour shooten (pardon à tous). 300 articles au compteur (à fin 2016).
Les articles ne sont pas longs, mais nombreux. Les délais sont serrés. Une planification est indispensable.
Il faut aussi aller vite ET bien.
Traduire vite
Je dois d’abord obtenir un brouillon en français. Deepl (issu de Linguee) bien sûr. C’est avec cet embryon de traduction que je démarre pour attaquer les expressions et ensuite adapter le tout.
Bien adapter
Connaissez-vous l’outil My Memory. Une aide à la traduction en contexte, alimentée par des traducteurs. Pour un mot ou une expression donnée, vous avez l’équivalent dans des dizaines de langues différentes. À vous de choisir celle qui vous semble la plus appropriée à votre texte et/ou voter pour elle. Vous pouvez aussi apporter votre propre traduction.
On retrouve le même principe dans Linguee. Je trouve cet outil de traduction (et moteur de recherche) moins pratique que My Memory, bien qu’il fasse appel aux mêmes traductions.
Quand le texte ressemble à quelque chose, je laisse reposer, fais relire et me charge des derniers réglages.
Pour aller plus loin
D’autres sites très intéressants :
- www.mijnwoordenboek.nl : complet et pratique
- www.vlaamswoordenboek.be : plutôt destiné aux natives, qui peuvent y apporter leur contribution